Mon projet professionnel
Je laisse la porte ouverte à 3 potentiels scénarios
Scénario 1 – Je suis accepté à MBS et je trouve une alternance
Dans ce scénario, je poursuis mon master en alternance à Montpellier Business School, avec pour objectif clair de me spécialiser dans le secteur du luxe. Je souhaite évoluer vers un poste de cadre ou de responsable commercial dans une entreprise prestigieuse, où l’exigence, la qualité de service et la relation client haut de gamme sont essentielles.
L’alternance me permettrait de combiner théorie et pratique, de renforcer mes compétences en stratégie commerciale, en négociation et en gestion de projet.
À moyen terme, je me vois évoluer vers un poste à responsabilités, en lien direct avec des clients exigeants, dans des secteurs comme la mode de luxe, la parfumerie, l’horlogerie ou encore l’automobile premium. Ce qui me motive, c’est de représenter une marque d’exception et de créer des expériences commerciales personnalisées et marquantes.
Scénario 2 – Je ne trouve pas d’alternance, je postule chez un concessionnaire automobile
Si je ne trouve pas d’alternance, je ne reste pas bloqué. Je postulerai chez un concessionnaire automobile, idéalement dans une marque reconnue. J’ai une vraie appétence pour la vente terrain et le contact client, et ce secteur me permettrait de développer rapidement mes compétences commerciales, tout en intégrant un univers qui me plaît.
Mon objectif serait de monter progressivement en responsabilités, en prouvant ma motivation et mes résultats. Je viserais ensuite un poste de chef des ventes, puis peut-être de responsable d’agence. Cette voie me permettrait d’apprendre très concrètement les réalités du terrain, tout en construisant une carrière stable et évolutive.
Scénario 3 – Je ne trouve pas d’alternance, je pars faire des saisons à l’étranger
Si aucune des deux premières options ne se concrétise, je transformerai cette situation en opportunité. L’un de mes plus grands rêves, c’est de voyager davantage, découvrir le monde, apprendre de nouvelles cultures et sortir de ma zone de confort.
Je partirais alors faire des saisons à l’étranger, dans l’hôtellerie, la restauration, ou même la vente. Cette expérience me permettrait de gagner en autonomie, de parler d’autres langues, de vivre des aventures humaines fortes, et de développer une grande capacité d’adaptation.
À mon retour, je pourrais valoriser ce parcours atypique pour me repositionner sur des métiers liés au commerce international, au tourisme ou à l’événementiel, voire même construire un projet entrepreneurial avec une dimension nomade ou internationale.